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Un mouton scolarisé


Raymond

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Eh bien réjouis-toi, ils ont été promus, les voilà ministres

Non tu te trompes, les miens ne sont pas devenus des ministres, ce sont de braves et honnêtes hommes ou femmes, comme toi ou moi, qui ne parles pas la langue de bois et qui malgré une scolarité pas très brillante sont tout de même capable de se rendre compte qu'on les prend pour des cons !
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Bonjour,

C'est à côté de la fenêtre et du radiateur que le cancre s'épanouit. Il sait quand le printemps est là, il observe la nature qui remplace bien souvent celui qui tente de lui faire face en l'abreuvant d'un flot continu de parlottes...

Et puis, n'insultons pas nos ânes en les traitant de sin ministres... car bien souvent, ce sont eux qui ont tracé les routes !

Bon WE,

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Les grandes écoles leur donnent l'impression (je parle des ministres) d'être au-dessus du lot, au-dessus de la France d'en bas, d'être l'élite de la nation... en fait ce n'est qu'une illusion, ils sont dans leur bulle complètement coupée des réalités du terrain, mais ce sont eux qui nous gouvernent ! Hélas !

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Il va de soi que si je prends le raccourci qui surprend, partant des écoles que nous avons connues avec leurs sympathiques et honnêtes cancres, ce n'est pas pour désigner ceux-là au premier degré comme devenus ministres, mais pour parler de certains opportunistes qui, peu importe qu'ils aient coiffé ou non le bonnet d'âne dans leurs (hautes) écoles, sont devenus de beaux salauds. Tentons d'admettre que nous ne connaissons aucun ancien camarade déchu ou indéfendable dans l'exercice de ses fonctions politiques, soit, mais cette histoire me rappelle le jour où mon père m'avait signalé qu'un de mes copains d'école débutait dans la vie par la case prison. Il est vrai que cela arrive assez peu à nos ministres ; on ne sait pas s'il faut s'en réjouir par principe ou parce qu'il faut y voir la remarquable qualité humaine qui les anime généralement. Quoi qu'il en soit, on constate hélas et dramatiquement que les politiciens créent une exaspération très particulière en ces temps désespérants, peut-être exagérée compte tenu de la manière dont leur monde, impuissant pourrait-on croire, s'est asservi lui-même (compromis) avec le pouvoir des multinationales et de la finance. A certains niveaux de pouvoir, quelle écoute les "cancres" des écoles de France et d'ailleurs peuvent-ils bien espérer de ces gens qui ne nous connaissent plus du tout ? Quel langage faut-il leur parler qui reste de l'ordre de la civilisation pour espérer ?

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Personnellement, mon cher Bernard, je pense que le salut ne viendra pas de ces gens-là, même si on trouve le langage pour communiquer avec eux de manière audible, le salut ne peut venir que de nous, pour cela il ne nous faut pas rester inactif il nous faut agir... réagir... ne pas attendre que d'autres le fassent !

Notre force c'est le nombre !

Sinon nous resterons des pigeons qui n'en finiront pas de se faire plumer, enfin, tant qu'il nous restera des plumes !

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